Février, mois de l’amour sur votre blog. Poème 1/ 28. Ce texte est une vraie demande de permission pour Aimer. Nous pensons qu’il s’agit d’une bonne entrée en matière pour notre projet.

Parfois on a envie de jeter la peur
Par la fenêtre du courage loin du cœur
Pour dire ces sentiments
Qui jour et nuit exercent sur nous des tourments.
J’ai envie d’appeler mon père
Et de lui dire:
Papa, je suis amoureuse.
Cette crainte que je chéris est plus que douloureuse.
Je ne sais comment le lui dire…
Papa, je veux étudier l’amour
Vas-tu l’accepter?
Pourras-tu convaincre mère?
Et vous deux ensemble m’aider…
Je n’y arrive pas…
Papa,je pense qu’il est temps
Pour moi de me détendre…
Maman comprendra-t-elle que j’ai longtemps
Résisté aux charmes amères de la déception?
Je ne sais vraiment comment le lui dire…
Papa,j’ai beaucoup hésité avant
De faire ce pas mêlant
Souffle craintif et désir d’être comprise
Par vous deux mes premières amours
Je n’y arrive toujours pas…
Larmes…père j’ai peur
J’ai vraiment l’âme en flamme pour
Tout ce que j’ai traversé
Je ne voudrais pas vous servir un verre de déboire
Regardez dedans pour moi
Regardons dedans par la foi
Regardons mon avenir passionnant
Osons croire mon cœur débordant.
Il me manque de force pour le lui dire…
Papa, mon cœur prend de volume
Pour quelqu’un dont tu ne voudrais me voir prendre la plume
Pour une première fois je l’ai prise
Depuis que je suis tombée dans cette crise…
Papa, j’ai pensé à tout ce que tu as investi
Pluie et Soleil; c’est ton corps qui les lave matin midi
Tu ne mérites pas déboire de ma part
Mais mon cœur mérite de s’asseoir.
Il est trop resté debout
Mal au cou
Mal aux pieds
Mal aux larmes que cette attente crée
Mal au cerveau
Mal aux yeux
Mal aux doigts
Mal au ventre
Mal aux oreilles
Mal
Mal
J’ai mal
Vois-tu papa?
J’ai mal de te dire tout ça…
Je ne sais comment le lui dire…
Parfois on a envie de jeter la peur
Par la fenêtre du courage loin du cœur
Pour dire ces sentiments
Qui jour et nuit exercent sur nous des tourments.
Des tourments…je suis troublée.
Hkr Belkis.
L’amour au féminin !
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Personne n’échappe aux flèches de Cupidon.
Merci Belkis pour ce beau poème.
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Ha. Belkis. Tu en as mis du temps. Combien de fois n’ai pas rêvé avoir lu tes filles folie. Enfin j’ai lu. Ho que ça fait du bien.
Amour quand tu nous traines!
Je le savoure en corps, ton poème…
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Merci les amis…soyez à l’écoute car l’audio vient…
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Le titre du texte est à la fin: Je suis trouvée
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Merci les amis…soyez à l’écoute car l’audio vient…
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Oh Belkis
Quoi que dis-je enfin ta prise !
Ta prise sur elle ! Ta prise sur moi
Ta prise très belle ! Hum »donneuse »d’émoi !
Diantre qu’ils te laissent aimer ! Parents !
Ton autre beau texte que j’adore
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Oh merci beaucoup. À l’amour!
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Umh….amour !! Qui rend l’âme moue
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Wao. Joli calembour !
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« Permission accordée, ma fille » aurais-je dit si j’étais le père. C’est si bien écrit, si bien formulé, si bien demandé que tout père en mourait d’admiration. Belle plume, chère Belkis. Ce beau texte est de bon augure pour les 27 autres à venir ! Je suis câblé comme jamais. Merci à vous d’écrire pour le plaisir de nos sens.
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Nous souhaitons à la poétesse, de belles études dans le domaine de l’amour ! C’est bon pour la poésie.
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Belkis, une confession publique? De toute façon, je sais désormais que la poésie est une plate-forme pour des plaidoyers en faveur des choses du cœur. Courage, papa et maman t’ont déjà donné leur permission. Bon vent
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Oui c’est tout ce que nous souhaitons à la sage poétesse ! Que ses parents lui donnent des ailes.
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Waooooh amennnn.merci à vous tous. Que vos vœux m’exaucent.
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On s’en prie.
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Exauce plutôt les nôtres en te parant de tes ailes de liberté. Tu le mérites :
« Mais mon cœur mérite de s’asseoir.
Il est trop resté debout
Mal au cou
Mal aux pieds
Mal aux larmes que cette attente crée
Mal au cerveau
Mal aux yeux
Mal aux doigts
Mal au ventre
Mal aux oreilles
Mal
Mal
J’ai mal
Vois-tu papa?
J’ai mal de te dire tout ça… » Là ça craint
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Ah!
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Hum!!! laisse à lire et relire…
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Merci Belkis pour ce très beau poème. Tu as une très belle plume.
J’attend impatiemment l’audio.
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Merci d’être passé à notre table Giresse Hounsa.
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Très beau poème… Belkis
Une plume simple et belle. kiss
À elle.
Chapeau !
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Merci cher Ricardo
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Taisez-vous… On slame…
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Sourire…
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Je l’avais prédit, tu as une plume très facile qui te mènera très loin. Courage et encore courage
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Amen…Merci pépé
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Quelle belle demande malgré tous ces tourments !
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Oh vous trouvez? Merci de nous lire! Passez une belle vie soutenue de belles amours.
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Une plume qui emporte et qui distille mille émotions à la fois. Au-delà des phrases, t’a bien plus que des mots. C’est profond.
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Merci beaucoup mon grand. Ravie de le savoir.
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