
Tu es ce nom mammaire que je désire
et savourant
la rumeur d’un jour vasée
qui s’embue de string crépusculaire
à l’ombre d’une ivresse tropicale
je m’épandrai comme un oiseau
à la première lueur d’un heur inespéré
regarde
l’écume de l’écluse
même la frimousse couleur minerai
que je soupçonne confettisée à l’hysope
m’est apparue dans une grâce diurne
comme une languette d’amour
établie à la verdure rare
et autant que ton nom
cette consonance à charges balsamiques et intimes
qui me re-plonge dans les entrailles de ton sourire
chante un blues poivré d’espoir et de bonne foi
et autant que ton nom
ce culte des mânes à l’errance soliste
plus sacré que les mamelles de Savè
plus sacré que Pointe-fétiche
toujours en quête d’une pointe tutélaire
m’est délié comme reliquaire de caresses
imbu de syllabes virginales
et autant que ton nom
cette ombre ensoleillée de connotations festives
à l’estuaire de ma lyre déjantée
trouve un écho favorable
pour te scander sa satiété
Grégoire Folly
Hum Greg Greg…ça c’est toi!
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Greg, ça, c’est vraiment toi.
Toujours avec ton style que l’on te reconnais.
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J’appelle ça de la poésie. Un texte que je décortiquerai stylistiquement après dans une autre circonstances. Bravo à l’auteur pour la charge littéraire
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Merci Chrys.
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