
Je me ferai Arthur Pandragor
Je volerai sur les ailes du condor
Avec la hargne du conquistador
Comme Hannibal Lecter
Et comme Jacques L’Eventreur
Je dissèquerai j’éventrerai tes peurs
Je serai le Père de la Comédie humaine
J’écrirai le roman de tes peines
Pour la bibliothèque pérenne
Comme Procruste, je me conduirai :
– Tes peines, je les raccourcirai
– Tes joies, je les rallongerai.
Comme Merlin L’Enchanteur,
– Je me ferai l’Arnaqueur
De tes idées noires et frayeurs
Pelphide TOKPO
Waooooooh!… Mes peines, mes joies- racourcis, rallonge… Sourire. C’est cool
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Pelphide… Je lis toujours de l’humour même dans cette déclaration ! Comme Merlin l’Enchanteur Tu te feras Arnaqueur Des frayeurs. Rire au pluriel ! Après l’arnaque Tu les mettras Où ? Haha
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Hahaha
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Il regarde trop de films, ce poète.
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Un poème rassasié de légendes cinémato-historiques avec une structure basée sur l’analogie. Bravo à l’artiste.
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